Le métier de la personnalisation textile est un univers intéressant. Pour comprendre et découvrir comme cela fonctionne, Steezstudio nous a ouvert ses portes.
(RJ): Comment se fait les choix des fournisseurs ?
Pour l’atelier et la boutique, nous choisissons des produits et des fournisseurs qui sont en cohérence avec les valeurs que nous prônons c’est à dire le commerce bio équitable.
(RJ): Quelles sont les différents types d’impression qui existent et combien en utilisez vous?
Nous utilisons six types d’impressions.
Par exemple, il y a la méthode numérique direct: c’est de la teinte injectée sur le textile. Ensuite il y a le flex: pour ce procédé, on intègre le vinyle pressé à chaud sur le vêtement. Nous utilisons aussi le transfert sérigraphique: c’est de la peinture de sérigraphie mit sur des feuilles pressée à chaud et pour finir on utilise de la broderie.
(RJ): Quelles types d’impressions est plus long à faire?
Pour ces différents types d’impressions, la broderie est le plus long parce qu’il faut d’abord travailler sur le fichier à broder. Le transfert sérigraphique est aussi long mais le résultat est plus précis.
(RJ): Travaillez vous avec différents partenaires pour la boutique ?
Oui, la boutique privilégie des produits bio. Les partenaires sont sélectionnés via les réseaux sociaux ainsi que sur des salons professionnels. Il arrive aussi que certains nous proposent leurs produits en faisant des demandes spontanées.
(RJ): Quels sont vos objectifs ?
Pour la boutique, nous voulons élargir notre clientèle et pour nos deux activités, à savoir l’atelier de personnalisation et la boutique.
A terme, c est de dissocier les deux espaces.
Concernant la boutique nous allons essayer de proposer plus d’accessoires. Pour l’atelier, ce serait surtout d’avoir un espace plus grand, répondre à une demande plus large et acheter des nouvelles machines pour démarrer une nouvelle activité, celle de la broderie.